Avec le réchauffement climatique, la problématique des émissions de gaz à effet de serre est souvent traitée dans l’actualité.
(Cf. article La lutte contre le réchauffement climatique : un enjeu majeur). Le traitement des ponts thermiques dans les logements ressort également comme une des solutions pour éradiquer ces logements énergivores.

C’est la réduction des émissions de gaz à effet de serre (Eges) enregistrée en 2018 par rapport à 2017 selon les indicateurs de suivi de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC).
Un projet de loi relatif à l’énergie et au climat d’actualité
Selon le Ministère de la transition écologique et solidaire, pour la première fois depuis 2014, les Eges ont été réduites de plus de 4 %. Cependant les voyants ne sont toujours pas au vert et les axes d’amélioration sont encore nombreux.
En juin dernier, le projet de loi relatif à l’énergie et au climat était examiné puis discuté en séance publique. Il fait état de 7 millions de logements, soit ¼ du parc, qui affichent un diagnostic de performance énergétique (DPE) égal à F ou G, correspondant à des logements énergivores.

Dans ce texte législatif, le secteur du bâtiment et de l’immobilier est concerné par l’amendement sur les « passoires thermiques ». Ce terme pointe du doigt ces logements « courant d’air » qui entraînent une consommation, mais également des coûts exorbitants de chauffage. Une problématique de plus en plus ressentie par les Français. (Cf. article Le chauffage : source d’inquiétude pour de nombreux Français).
Le saviez-vous ?
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- En maison individuelle neuve isolée, les ponts thermiques représentent 20 % des déperditions thermiques.
- En collectif neuf isolé, les ponts thermiques représentent 18 % des déperditions thermiques
* Source étude UVED
Simulation de thermographie. Visuel non contractuel.
Mais d’où viennent ces ponts thermiques ? Quels impacts ont-ils sur un logement et ses habitants ? Quelles solutions peuvent être envisagées ?
Les ponts thermiques sont définis par des ruptures d’isolation dans l’enveloppe non homogène du bâtiment. Ils peuvent être responsables de :
• déperditions thermiques,
• problèmes d’inconfort,
• dégradations éventuelles dans la construction comme l’apparition de condensation due à des points froids.
Les solutions terre cuite
Les renforcements successifs de la réglementation thermique et la nécessité de relever les défis climatiques de demain conduisent à construire des bâtiments toujours plus économes en énergie.
Pour accompagner ce changement, bio’bric propose une gamme de briques en terre cuite naturellement isolantes en partie courante du mur.
En complément, la correction des ponts thermiques ne doit pas être oubliée. C’est un véritable enjeu pour répondre à la future réglementation environnementale. C’est pourquoi bio’bric s’engage et présente des accessoires isolants pour traiter efficacement ces déperditions aux points sensibles de la construction (plancher, ouverture, attique, balcon…).

Retrouvez plus d’informations dans notre documentation thématique sur le traitement efficace des ponts thermiques :
- en about de plancher
- au droit des ouvertures, pour les menuiseries monobloc – BBI
- au droit des ouvertures, pour les menuiseries traditionnelles
- en acrotères bas et haut

Pour en savoir plus sur le diagnostic de performances énergétiques et les premières réflexions de la réforme : https://www.batiactu.com/edito/diagnostic-performance-energetique-premieres-pistes-56605.php